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Grand témoignage

Le vrai visage de la Guinée équatoriale

 

Visiblement, s’accorder au finish à organiser la coupe d’Afrique des Nations en deux mois de préparation était à la fois une option et une ambition osées, proches des travaux d’Hercule pour les autorités gouvernementales et sportives ainsi que les entrepreneurs, travailleurs et ouvriers de la Guinée Équatoriale, toutes tendances politiques et catégories sociales confondues

En novembre dernier, c’est-à-dire à deux mois seulement du début du tournoi, le Maroc, contre toute attente, avait décliné l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations 2015 en raison des risques de contamination au virus d’Ébola, plongeant ainsi les amateurs du ballon rond dans l’affolement et une incertitude sans lendemain. Après moult tractations, pendant que prenait progressivement forme l’idée de confier au Qatar, un pays asiatique, l’exceptionnel honneur et la gigantesque tâche de recevoir la jeunesse africaine appelée, tous les deux ans, à s’exprimer et se mesurer autour du ballon rond, la Guinée Équatoriale a été choisie par la Confédération de Football Association (CAF) pour organiser la CAN 2015, après que le président Teodoro Obiang Nguema  a accepté le lourd fardeau de garantir le déroulement de cette compétition, dans les meilleures conditions, du 17 janvier au 8 février 2015, comme initialement prévu : une responsabilité risquée et difficile à assumer. Du côté des populations, à l’improviste, quelque 750.000 équato-guinéens, représentant l’équivalent de la population se déplaçant par le métro de Montréal en une journée, ont ainsi consenti, malgré l’appel au boycott de la « CAN 2015 made Obiang » lancé par l’opposition politique et le spectre d’Ébola, à recevoir des visiteurs et partager chaleureusement leur quotidien avec de dizaines de milliers d’amoureux du football. Sacré et hospitalier peuple équato-guinéen!

Visiblement, s’accorder au finish à organiser la coupe d’Afrique des Nations en deux mois de préparation était à la fois une option et une ambition osées, proches des travaux d’Hercule pour les autorités gouvernementales et sportives ainsi que les entrepreneurs, travailleurs et ouvriers de la Guinée Équatoriale, toutes tendances politiques et catégories sociales confondues. « Pour nous, c’était un sursaut d’orgueil que d’accepter la CAN après que le Maroc se soit désisté. Vous imaginez la coupe de tout le continent africain aller se jouer au Qatar ! On ne pouvait pas accepter ça ! Lorsque le président Obiang a entendu que sur les 54 états de l’Afrique on ne trouvait personne pour héberger la CAN, il n’est pas rentré dans des calculs bizarres. Il voulait d’abord sauver la situation. Même si on n’avait que deux stades, on se serait débrouillé pour le faire. On sait qu’on ne va pas faire des miracles en deux mois, mais on va organiser la meilleure CAN possible. Nous allons mettre tout en œuvre pour que l’Afrique ne subisse pas cette humiliation. Les commentaires des anti-équato-guinéens ne nous intéressent pas. Ce sont les mêmes qui se seraient plaints si cela se déroulait au Qatar. Organiser la CAN, c’était éviter l’humiliation à toute l’Afrique », déclarait un poids lourd du régime Obiang, S.E.M. Miguel Oyono Mifumu, l’actuel ambassadeur de la Guinée Équatoriale en France.

...quelle recette politique et socioéconomique a prévalu pour que, en dépit de l’appel au boycott de la « CAN 2015 made Obiang » lancé par l’opposition,  l’infiniment « petite Guinée Équatoriale » relève, à la manière d’«infiniment grands managers », le défi de l’organisation de la Coupe des Nations de Football, le plus grand rendez-vous sportif de l’année 2015 en Afrique?

Deux pertinentes questions devraient traverser les esprits éveillés en Afrique, en Amérique, en Asie et en Europe. Premièrement, comment et par quelle magie, en l’espace d’une cinquantaine de jours, les dirigeants d’un pays ont pu convaincre, d’abord, leur peuple qui n’a jamais remporté, par sa jeunesse, un seul tournoi de football international ni une seule médaille lors des jeux olympiques pour le football et encore moins ne fructifie son économie par la vente et le jeu du ballon rond; ensuite, les populations africaines généralement très critiques et très sceptiques vis-à-vis des politiques dans la promotion du football en Afrique?  Deuxièmement, quelle recette politique et socioéconomique a prévalu pour que, en dépit de l’appel au boycott de la « CAN 2015 made Obiang » lancé par l’opposition,  l’infiniment « petite Guinée Équatoriale » relève, à la manière d’«infiniment grands managers », le défi de l’organisation de la Coupe des Nations de Football, le plus grand rendez-vous sportif de l’année 2015 en Afrique?

« Cent Tambours Mille Trompettes » s’emploie à l’exploration de ce pays à classer honnêtement parmi les puissances économiques émergentes de l’Afrique

Sans grand effort intellectuel…mais seuls, avec les yeux du cœur et de la raison rivés sur les activités quotidiennes en Guinée équatoriale…en complicité avec des oreilles bien attentives et esquivant subtilement des brouhahas et tintamarre du quotidien, un sympathisant de « Cent Tambours Mille Trompettes» à Malabo livre, à cette double question, une réponse attrayante, encourageante…et substantiellement objective : la Guinée Équatoriale ne cessera d’étonner et d’attirer l’attention du monde entier avec une population accueillante, généreuse, multiculturelle et multilingue, une paix sociale visiblement contagieuse, une économie florissante, une monnaie compétitive et en bonne santé économique en interne, une hôtellerie de luxe et bien étoilée, des médias de plus en plus libres et rentables, des infrastructures sportives en état et de confort international,  des réseaux de communications de top génération en expansion, des voies et un réseau des transports en pleine modernisation, une police républicaine, vigilante, positive, présente et prête à aller au-delà de ses services traditionnels de protection des personnes et de leurs biens, c’est-à-dire faire le guide officiel et l’agent de communication de proximité pour des milliers des visiteurs sportifs et touristes …À cela s’ajoutent l’inscription de l’État équato-guinéen dans la logique mondiale irréversible de changement multisectoriel, du développement durable et du dialogue des cultures, la disponibilité, la spontanéité et la foi de ses autorités, de la base au sommet, en l’avenir d’une Afrique des valeurs et de gouvernance largement compétitive,  un continent davantage solidaire et souscripteur convaincu à l’idéal de partage à l’échelle planétaire.

« Cent Tambours Mille Trompettes » s’emploie à l’exploration de ce pays à classer honnêtement parmi les puissances économiques émergentes de l’Afrique. Hanté par la recherche immodéré des statistiques plus actuelles et plus détaillées des organismes fiables dont les centres de recherches économiques, la banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), cet organe d’information avant-gardiste se prépare à se mettre en route pour la Guinée équatoriale post-Can 2015 afin de vérifier les traits du vrai visage de celle-ci qu’il va bientôt publier. Un gros plan d’activités en Guinée équatoriale au-delà du spectacle vivifiant de Nzalang Nacional…


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