Des enquêtes diligentées et bouclées par ses services révélant des cas de malversations financières, détournement des deniers publics, corruption, fraude fiscale et douanières dont la perte est estimée à plusieurs millions de dollars américains au détriment du Trésor public
Dans une correspondance datant du 4 août 2017 et portant mentions grasses « URGENT » et « CONFIDENTIEL », Luzolo Bambi Lesa, conseiller spécial du chef de l’État en matière de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, a transmis au procureur général de la République, - avec copies pour informations réservées au président de la République et chef de l’État, au premier ministre et chef du gouvernement, au ministre d’État et ministre de la Justice et Garde de Sceaux, aux ministres des finances et du portefeuille -, une liste assortie de quatorze dossiers judiciaires documentés, regroupés en huit et émanant des enquêtes diligentées et bouclées par ses services révélant des cas de malversations financières, détournement des deniers publics, corruption, fraude fiscale et douanières dont la perte est estimée à plusieurs millions de dollars américains au détriment du Trésor public.
Pourtant, le même président de la République, à qui « le faux Périclès » réserve, avec tous les hommages les plus déférents, une copie de la correspondance, est le criminel politique et économico-humanitaire en chef
À travers la même correspondance, le surnommé « Périclès » dans l’exercice de ses fonctions académiques, souligne que les personnes concernées sont des hauts fonctionnaires de l’État, des mandataires publics, des hommes d’affaires nationaux et étrangers, des responsables des banques commerciales ainsi que ceux de la Banque centrale du Congo, sans manquer de faire appel au sens élevé de patriotisme et de justice du procureur général de la république, pendant que le pays traverse une crise financière caractérisée par un manque criant de devises étrangers et occasionnée par la fraude fiscale et douanière, la fuite des capitaux et le non rapatriement des devises, la spoliation des immeubles de l’État ainsi que le détournement des deniers publics. En « faux-Périclès », le professeur Luzolo Bambi Lesa espère, par cette démarche, soutenir le président de la République dans sa lutte contre l’impunité pour restaurer l’autorité de l’État et moraliser la vie publique dans notre pays. Pourtant, le même président de la République, à qui « le faux Périclès » réserve, avec tous les hommages les plus déférents, une copie de la correspondance, est le criminel politique et économico-humanitaire en chef avec des milliards de dollars éparpillés à travers le monde et des milliers de morts résultant de son maintien par défi, mépris et contre la volonté du peuple à la tête du pays : selon de nombreux et sérieux rapports indépendants dont celui de l’agence Bloomberg, l'empire économique bâti par Joseph Kabila et compagnie est spécialisé en détournements et exploitations frauduleuses des richesses du pays ainsi que des actes de sabotage à très grande échelle de l'économie et de la démographie nationale plongeant des millions de congolais dans la misère la plus noire et dans une pauvreté indescriptible.
En lieu et place d’une seconde comédie « aux bons goûts et à la meilleure digestion des gamins », Luzolo Bambi Lessa aurait rendu un grand et historique service aux Congolais en allant jusqu’au bout de sa « sainte logique » et en recommandant, au nom de l’intérêt supérieur de la nation, l'arrestation pure et simple de l’illégal et l’illégitime président Joseph Kabila pour haute trahison
Cela étant, après sa comédie stérile chez le procureur général de la république vers la moitié de l’année 2015, en lieu et place d’une seconde comédie « aux bons goûts et à la meilleure digestion des gamins », Luzolo Bambi Lessa aurait rendu un grand et historique service aux Congolais en allant jusqu’au bout de sa « sainte logique » et en recommandant, au nom de l’intérêt supérieur de la nation, l'arrestation pure et simple de l’illégal et l’illégitime président Joseph Kabila pour haute trahison dont le crime politique résultant du refus délibéré d’organiser des élections au pays, en privant le peuple congolais de son droit le plus légitime de se choisir des représentants à intervalle régulière. Ainsi Luzolo Bambi Lessa correspondra à son sobriquet académicien « Périclès », le grand orateur et stratège politique grec qui, en 463 av. J.-C., fut le principal accusateur de Cimon, le chef de la faction conservatrice accusé de négliger les intérêts vitaux d'Athènes en Macédoine. En 461 av. J.-C., Périclès obtint aussi l'élimination politique de ce redoutable adversaire. L'accusation principale porte sur le fait que Cimon a trahi sa ville en agissant comme un partisan de Sparte et qu'il est donc opposé aux intérêts des Athéniens.
Luzolo Bambi Lessa est carrément recalé pour avoir troqué sans gêne son statut de professeur à celui de l’écolier buissonnier, dans la cour de Joseph Kabila
Pour l’instant, Luzolo Bambi Lessa est carrément recalé pour avoir troqué sans gêne son statut de professeur à celui de l’écolier buissonnier, dans la cour de Joseph Kabila, notamment en soustrayant le nom de ce premier criminel économique de la RD Congo dans son dossier d’accusation judiciaire.
Par ailleurs, par une lecture avertie de la correspondance de Luzolo Bambi Lessa au procureur général de la République, Joseph Kabila peut tirer toutes les conséquences des maux épinglés par son proche collaborateur en s’effaçant complètement et de manière spontanée de la vie publique en RD Congo.