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Grand témoignage

Une Constitution « mal aimée » par la classe politique : un 3ème choix pour la RD Congo!

Les actes de la  majorité présidentielle élargie résultant du dialogue politique de la cité de l’OUA violent la constitution. Les dispositions du régime spécial, initié de bonne foi par le « Rassemblement », violent également le texte fondamental du pays

Suite à une crise de légitimité générale et sans précédent, la RD Congo est au bord de l’explosion et d’une guerre civile de longue durée. Les principaux protagonistes sont signalés dans la Majorité présidentielle élargie (MPE) dérivant, le 18 octobre 2016, du dialogue politique de la cité de l’OUA, et au sein du Rassemblement des forces politiques et sociales, issu du Conclave de l’Opposition politique de Bruxelles, en juin 2016.

Au dialogue de la Cité de l’UA comme au sein du Rassemblement de l’opposition de Bruxelles ont siégé des acteurs de tous les âges, de toutes les époques, de toutes natures dont des ténors dans la gestion néfaste des affaires publiques sous Mobutu et Kabila (Laurent et Joseph). La plupart des participants sont comptables dans la crise multiforme qui secoue et gangrène la RD Congo : des fauteurs des troubles, des pilleurs, des corrompus, des corrupteurs, des rebelles de tous les degrés, des assassins, etc. La justice indépendante de la prochaine république s’occupera de tous ceux qui se sont transformés plus vite qu’un clin d’œil en opposants après avoir évolué en ennemis de l’intérêt général et du peuple congolais pendant des décennies. « Il est vrai que la politique est dynamique, mais elle n’est pas naturellement immorale, injuste et assassine ».

Plus spécialement, de ces deux groupes politiques résultent les auteurs de la mauvaise gouvernance et des viols répétés de la Constitution de la RD Congo ainsi que des règles cardinales de la démocratie, en vue du glissement des mandats (1) du président de la république et (2) des sénateurs et autres acteurs institutionnels. Il convient de signaler que, en référence au dicton « qui ne dit mot consent », les députés nationaux de tous bords ont été complices et acteurs indirects de ces violations de la Constitution et de la haute trahison contre le peuple : les actes de la  majorité présidentielle élargie résultant du dialogue politique de la cité de l’OUA violent la constitution. Les dispositions du régime spécial, initié de bonne foi par le « Rassemblement », violent également le texte fondamental du pays.

Au 20 décembre 2016, avec la rupture du pacte républicain entre le peuple congolais et les institutions irresponsables issues des élections de 2011 et de 2006-2007, au même titre que les sénateurs, députés provinciaux les gouverneurs de provinces, le président de la république sera déclaré usurpateur du pouvoir d’État et confronté à l’article 64 qui autorise le peuple à défendre et reprendre son pouvoir et tout son impérium par tous les moyens

Ainsi, à moins de 8 semaines de la fin du 2ème mandat électif de Joseph Kabila et de la rupture du pacte républicain entre le peuple et les institutions irresponsables issues des élections de 2011 et de 2006-2007, Il se précise de plus en plus l’invisibilité, l’illisibilité et la précarité de l’avenir politique en RD Congo, notamment, l’incertitude de la gestion consensuelle et orthodoxe des affaires publiques après le 19 décembre 2016 par les mêmes personnes ayant conduit le pays dans la crise électorale et générale : incertitude de la paix, de la stabilité, de la concorde et de la tranquillité avec l’implication de ces deux camps protagonistes. Bien plus, dans ses activités quotidiennes, la classe politique a brillé par un degré d’immoralité et de cupidité effroyable. Les deux camps politiques constituant directement ou indirectement les principaux artisans du complot institutionnel et politique contre le peuple congolais.

Au 20 décembre 2016, avec la rupture du pacte républicain entre le peuple congolais et les institutions irresponsables issues des élections de 2011 et de 2006-2007, au même titre que les sénateurs, députés provinciaux les gouverneurs de provinces, le président de la république sera déclaré usurpateur du pouvoir d’État et confronté à l’article 64 qui autorise le peuple à défendre et reprendre son pouvoir et tout son impérium par tous les moyens.

Pas de prime à la mauvaise gouvernance, aux violations répétées de la Constitution et des règles cardinales de la démocratie,   Pas de prime d’honneur non plus à la haute trahison...

Les sénateurs, députés provinciaux et gouverneurs de provinces ont confisqué le pouvoir du peuple pendant plus de 4 ans en se faisant rémunérer par les finances publiques. Ce qui est un cas de gangstérisme d’État et d’immoralité notoire susceptible d’entrainer des poursuites par le peuple, dans l’avenir.

Somme toute, le glissement est la résultante d’un complot institutionnel dont le pouvoir et toute l’opposition sont des principaux artisans.

Du côté des populations, un seul principe cardinal : Pas de prime à la mauvaise gouvernance, aux violations répétées de la Constitution et des règles cardinales de la démocratie,   Pas de prime d’honneur non plus à la haute trahison dont sont auteurs, de manière criante et flagrante, les membres de ces deux groupes politiques. Faire le contraire relève de l’absurdité, de l’injustice et de l’inacceptable : les mêmes causes produisant les mêmes effets. Le peuple ne laissera pas les traites de la république continuer à le représenter ou le diriger. « Chat échaudé craint l’eau froide »

Pour une transition de 12 mois, la gestion du pays et l’organisation des élections seront respectivement confiées à la société civile Congolaise (50% des congolais de l’intérieur du pays et 50% des Congolais de la diaspora) et à la Monusco appuyée par l'Union africaine et l’Union européenne 

Solution médiane : Pour une transition de 12 mois, la gestion du pays et l’organisation des élections seront respectivement confiées à la société civile Congolaise (50% des congolais de l’intérieur du pays et 50% des Congolais de la diaspora) et à la Monusco appuyée par l’Union africaine et  l’Union Européenne (l’EUPOL et l’EUSEC): « faute de grives, on mange des merles!». Qu’on se le dise!

Parmi les programmes d’accompagnement de la renaissance du pays figurent le désarmement, la démobilisation, la requalification et la réforme de la police, de l’armée ainsi que des services de renseignement.

Mis à l’écart de la gestion des affaires publiques pendant les 12 mois de la période intérimaire, les deux groupes (MPE et le Rassemblement et leurs alliés respectifs) sont dès lors invités à préparer minutieusement les élections générales à venir et à contribuer à l’éducation civique des populations dans l’intervalle du temps précédemment définie.

Incessamment, le Mouvement sociopolitique « MISSION NOUVELLE » rend public un communiqué et tiendra une conférence de presse sur ce troisième choix.


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