Ouverte en 1969, cette école est censée perpétuer le nom, l’esprit, le sens humaniste et rassembleur de Louis-Philippe Paré qui, ancré solidement dans les valeurs, a joué un rôle remarquable dans le domaine de l’éducation à Châteauguay, durant la première moitié du 20ème siècle
Né en 1896 et mort en 1974, Louis-Philippe Paré est à la fois un nom, une référence et le symbole d’un humanisme véritablement socialisant. D’où l’attribution de son illustre nom à une école publique située à Châteauguay et qui fait partie du Centre de services scolaire des Grandes-Seigneuries (CSDGS). Ouverte en 1969, cette école est censée perpétuer le nom, l’esprit, le sens humaniste et rassembleur de Louis-Philippe Paré qui, ancré solidement dans les valeurs, a joué un rôle remarquable dans le domaine de l’éducation à Châteauguay, durant la première moitié du 20ème siècle. L’école secondaire Louis-Philippe-Paré est ainsi considérée comme porte-étendard dans l’instruction, la socialisation et la diplomation ou la qualification certifiée de la jeunesse au Québec. Elle a ainsi généré des milliers d’intellectuels de très haute facture rendant de signalés services à la communauté et à la jeunesse.
En refusant de reconnaître à un enseignant le devoir de garde et la responsabilité juridique des élèves en classe, parce qu’une une de leur ou une directrice-adjointe a, de façon illégale, autoritaire et abracadabrante, retiré une élève en pleine activité d’évaluation, sans consulter l’enseignant pour ne pas dire en ignorant superbement celui-ci, il y a certainement anguille sous roche...
Cependant, lorsque, notamment, des têtes encyclopédiques, des si hauts responsables du Centre de services scolaire et des autorités de l’école Louis-Philippe-Paré bradent toute leur objectivité, absorbent tous les rayons de la raison et de la vérité ou assomment à l’unisson les valeurs cardinales de la société québécoise ainsi que le fondement de l’organisation scolaire, en refusant de reconnaître à un enseignant le devoir de garde et la responsabilité juridique des élèves en classe, parce qu’une une de leur ou une directrice-adjointe a, de façon illégale, autoritaire et abracadabrante, retiré une élève en pleine activité d’évaluation, sans consulter l’enseignant pour ne pas dire en ignorant superbement celui-ci, il y a certainement anguille sous roche...Une intervention de l’autorité ministérielle ou judiciaire ou encore la déontologie policière doit trancher et préciser les choses.
Le racisme systémique émerge par des pratiques discriminatoires dans cette école leader de la ville de Chateauguay. Trois indices récurrents sur le terrain prouvent cette observation au détriment de trois enseignants immigrants noirs sur quatre que compte cette école
Incroyable mais vrai, contrairement à l’esprit du célèbre Louis-Philippe-Paré, le racisme systémique émerge par des pratiques discriminatoires dans cette école leader de la ville de Chateauguay. Trois indices récurrents sur le terrain prouvent cette observation au détriment de trois enseignants immigrants noirs sur quatre que compte cette école : la reconnaissance par la direction de l’école de l’accomplissement des tâches enseignantes d’ordre totalement pédagogique par un Technicien d’éducation spécialisée (TES) d’abord; la primauté des témoignages des élèves (dont plus de 90% dotés d’exigeants plans d’interventions et aux statuts comportementaux laissant à désirer) sur ceux de l’enseignant noir par le TES et la sous-direction, ensuite; l’irrespect, le manque de considération vis-à-vis de l’enseignant noir dans l’exercice de ses fonctions par le ou la TES et la direction de l’école, enfin. Des pratiques qui étaient graduellement consolidées et diversifiées en débouchant sur des conséquences incalculables dans la vie de ces trois enseignants immigrants noirs.
Un TES avait, plus de cinq fois, outrepassé son mandat ou son champs d’activités en s’improvisant maladroitement enseignant en lieu et place de celui-ci durant plusieurs minutes, sans annonce ni préparation préalable avec l’enseignant
Premièrement, au département Pré-DEP, au cours de l’année scolaire 2023-2024, en l’espace d’environ six mois, un TES avait, plus de cinq fois, outrepassé son mandat ou son champs d’activités en s’improvisant maladroitement enseignant en lieu et place de celui-ci durant plusieurs minutes, sans annonce ni préparation préalable avec l’enseignant : ce TES avait repris cet acte repréhensible plus d’une fois pendant le cours de Mathématique assuré par un immigrant noir et plus de trois fois lors des séances de cours de Français dispensé également par un immigrant noir, notamment durant une leçon aussi sensible et complexe que l’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir pour laquelle le fameux TES avait occasionné des rectificatifs de la part de l’enseignant après sa sortie de la classe. Inacceptable!
Curieusement, lors d’une réunion de clarification sur le cas d’un des enseignants immigrants noirs dans la salle de réunion de la direction de l’école, la directrice de l’école, soutenue par la directrice-adjointe du Département PÉI, et le directeur-adjoint du Département Pré-DEP, avait curieusement affirmé que le TES peut s’improviser enseignant d’une leçon en présence de l’enseignant, sans le consentement de celui-ci. Gravissime! Une position et une affirmation qui violent gravement les dispositions de la Loi sur l’instruction publique au Québec dans son Chapitre II, sections 1 et 2 relatives aux droits et obligations de l’enseignant qui est chargé, entre autres de prendre les mesures nécessaires pour promouvoir la qualité de la langue écrite et parlée;
Le même TES s’était organisé à ne pas collaborer en amont avec deux de ces enseignants noirs chargés respectivement d’importants cours de mathématique et de français, en prenant unilatéralement des mesures en complicité avec le directeur-adjoint du Département Pré-DEP
Deuxièmement, déclarant pince sans rire que les enseignants immigrants noirs ne comprennent pas la culture québécoise ainsi que l’esprit de la jeunesse québécoise, le même TES s’était organisé à ne pas collaborer en amont avec deux de ces enseignants noirs chargés respectivement d’importants cours de mathématique et de français, en prenant unilatéralement des mesures en complicité avec le directeur-adjoint du Département Pré-DEP, en ne tenant compte ou en ne privilégiant que des avis mensongers et manipulateurs des élèves contre les avis justes et pertinents des enseignants de race noire : face à un directeur-adjoint déjà partial, pour se donner raison dans sa mesure ou son approche unilatérale et oblique, le TES prenait malencontreusement position pour l’élève et critiquait l’enseignant pour un fait dont il (le TES) n’avait pas été témoin oculaire ni témoin auriculaire. Dossier à suivre
