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Portrait du Leader

Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années. Cette citation de Pierre Corneille trouve tout son sens dans la vie d’une femme et d’un homme dont les talents et les dons innés n’ont pas eu besoin d’attendre les années de maturité pour éclater au grand jour. Les symptômes de cette réalité se vérifient au travers de leurs parcours de vie remarquablement brillants. A ces prédispositions naturelles vient s’ajouter la bonne graine qu’ils ont pu individuellement semer en leurs âmes dès les crépuscules de leurs enfances : Ils ont a su, l’une et l’autre, se plier aux impératifs de l’éducation parentale, écouter les conseils de leurs différents maîtres et les mettre à profit, cultiver leurs bonnes qualités, s’efforcer de devenir actifs et vertueux. Aujourd’hui, dans leurs âges mûrs, ils moissonnent les heureux fruits (le bonheur, l’estime et la considération générale) d’une jeunesse bien gardée, d’une vie toute faite de vertu, d’abnégation et d’honnêteté. Moyens par leurs tailles et gigantesques par leurs valeurs intellectuelles, la femme et l’homme que la rédaction de « Cent Tambours Mille Trompettes » présente en signe de métissage, de mondialisation et de diversité en matière de leadership des jeunes, n’ont épargné aucun effort pour marquer de leurs empreintes leurs séjours terrestres en cours. Poussés par le goût du risque, l’amour de la science, de l’art et, surtout, de l’humanité, ils se sont érigés, chacun dans son environnement particulier, en véritables partisans de la vie dévouée et de l’apprentissage de l’oubli de soi en faisant passer les attentes  de leurs semblables avant leurs intérêts personnels. Ces deux figures du leadership sont Kathia Anju Dhillon et Chandra Arya

Marie-Josée Odia Badibanga

Marie-Josée Odia Badibanga est comptée parmi les personnes par lesquelles la raison, l’objectivité et la vérité scientifique  font la loi et la foi des sociétés à l’échelle planétaire

La RD Congo n’est pas seulement remplie de richesses naturelles en sol et sous-sol. Elle compte également des ressources humaines riches, diversifiées, spécialisées et éparpillées à travers le monde. D’origine Kasaïenne et née à Lubumbashi en début des années 1960, Marie-Josée Odia Badibanga est comptée parmi les personnes par lesquelles la raison, l’objectivité et la vérité scientifique  font la loi et la foi des sociétés à l’échelle planétaire, particulièrement en France, à Évry, dans la banlieue sud de l’Île de France. En dépit de ses nombreuses occupations de mère de trois grands garçons, cette congolaise naturalisée française sait parfaitement faire la part des choses entre son rôle de femme, ses activités de recherches scientifiques et son engagement dans la vie communautaire…

« Cent Tambours Mille Trompettes » l’a approchée pour en savoir plus.

Substantiellement, que pouvons-nous retenir de votre parcours scolaire, de l’école maternelle à ce jour?

C'est à Lubumbashi, dans la province de Katanga, que j'ai fait l'école maternelle et une partie des études primaires. Car nous étions, moi, mes parents ainsi que mes sœur et frères, retournés définitivement à Kinshasa en 1969. 

"J’ai toujours comparé ma vie aux scènes du film « Samba » d’Omar Sy. Ayant déjà travaillé comme secrétaire médicale à Kinshasa, je comptais tout de suite suivre une formation sur les soins infirmiers. Mais, hélas cela n'était pas possible!"

Et de là,  j’avais fait le tour de pas mal d’écoles de Kinshasa : école primaire laïque en face du camp militaire Colonel Kokolo, deux années de cycle d'orientation à l'Athénée de la Gombe, en premier cycle d’orientation. Enfin, j’avais  obtenu mon bac général en section commerciale et administrative, à l'Institut Mbaki, à deux pas de mon ancienne école primaire.

A quand remonte votre arrivée en France et quels sont les grands moments de votre intégration dans ce pays?

Je suis arrivée en France en Février 1989, comme toute nouvelle arrivée avec ses hauts et ses bas. J’ai toujours comparé ma vie aux scènes du film « Samba » d’Omar Sy. Ayant déjà travaillé comme secrétaire médicale à Kinshasa, je comptais tout de suite suivre une formation sur les soins infirmiers. Mais, hélas cela n'était pas possible! J’étais ainsi contrainte à alterner de petits boulots par-ci par-là. Jusqu’au jour de l’obtention de mon premier certificat aux métiers d'aide à domicile. Sans désemparer, j’avais continué à préparer les concours d'aide-soignante et d'aide médico-psychologique. Finalement, j'avais été admise pour la seconde formation, c’est-à-dire, celle d’AMP. Une fois mon diplôme en poche, j'avais vite signé mon premier contrat à durée indéterminée avant de m’être engagé jusqu’à ce jour dans une association de grande envergure. Je suis présentement affectée auprès des personnes atteintes de Sclérose en plaques.

Toujours en quête d'amélioration de la qualité de l'aide à apporter aux patients que nous accueillons, j'avais formulé une demande auprès de ma direction pour bénéficier d'un plan de formation, en vue d'une évolution dans ma carrière. Ce qui m’avait été accordé. En effet, j’avais pu suivre ma formation de musicothérapie durant deux ans : en juin 2014, un diplôme avait sanctionné ma satisfaction à cette formation. (À suivre...)


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